il y a 5 ans -  - 3 minutes

TECH IN France : Fédérer, décrypter et représenter les écosystèmes tech

La Garden Party donnée par l’association TECH IN France dans les locaux de la pépite française Oodrive a été l’occasion de marquer le dynamisme des écosystèmes tech et numériques. Des échanges nourris ont permis aux adhérents de partager leur vision en faveur d’un écosystème numérique complet.

TECH IN France compte 400 entreprises adhérentes : de la startup à la multinationale en passant par la PME et les grands groupes français ce qui représente environ 8 milliards d’euros. L’association, dont l’objectif est de faire de la France la terre de création des solutions digitales et faire émerger les leaders de demain correspond désormais à sa raison d’être.

TECH IN France lors de la Garden party de Tech'In France à Paris le 8 juillet 2019
Garden party de Tech’In France à Paris le 8 juillet 2019

Dans ce cadre, l’association a accueilli ses adhérents à l’occasion d’une Garden Party qui a rassemblé environ 200 personnes. Ces professionnels se sont ainsi fixés pour objectif de faire de la France la terre de création des solutions digitales et de faire émerger les leaders de demain. Pierre-Marie Lehucher, Président de TECH IN France a salué l’importance de cette représentativité : « Notre principe est de mettre en commun nos expériences pour essayer de faire grandir et réussir chacun, notamment sur la scène internationale. TECH IN France peut, par ses actions, être contributeur afin de faire de la France une terre de création pour fabriquer les leaders de demain ».

Un écosystème complet

Des propos que confirme Valérie Valais, vice-présidente, Affaires internationales et développement durable de Dassault Systèmes : « en tant que membre fondateur de TECH IN France, nous sommes satisfaits du travail accompli. Nous devons à présent nous positionner sur la transformation de l’emploi et des compétences. Nous devons renforcer l’attractivité de l’Industrie auprès des jeunes au moyen de la formation. Le numérique peut, en ce sens aider dans cette transformation ».

Une mission entendue par l’association professionnelle dans la mesure où l’organisme tisse dès à présent des liens entre écoles et entreprises afin de s’assurer que la France disposera bel et bien des compétences permettant de rester compétitif.

Des propos entendus par Cédric O, le secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Economie et des Finances et du ministre de l’action et des comptes publics, chargé du numérique. Invité d’honneur de TECH IN France, le responsable a ainsi tenu à saluer le travail effectué par l’organisation et ses enjeux à venir : « Je n’ignore pas qu’aujourd’hui, un de principaux problèmes des entreprises de technologie demeure le sujet du recrutement. Cela nécessite de créer l’écosystème qui va avec, que j’’estime être en lien fort avec TECH IN France. Une fois que l’on a admis que la question était résolument internationale, alors ce même écosystème se doit être international ».

Dès lors, les missions du collectif s’avèrent triples. A savoir de fédérer, représenter et décrypter les écosystèmes numériques. L’optique générale étant de pouvoir échanger entre pairs. Hervé Cébula, fondateur de MediaTech Solutions explique : « TECH IN France m’a permis de rencontrer des personnes qui ont, ont eu ou auront les mêmes problématiques que ma société. »

Un conseil d’administration renouvelé

Les adhérents de TECH IN France ont donc pris part au renouvellement du Conseil d’administration et élu 5 nouveaux membres pour un mandat de deux ans :

. CRITEO, représenté par François Lhemery

. SALESFORCE, représenté par Julie Robin

. MEDIATECH SOLUTIONS, représenté par Hervé Cebula

. OODRIVE, représenté par Stanislas de Rémur

. CENTREON, représenté par Julien Mathis

Outre ces nouveaux représentants, Jean-Luc Saouli (Itesoft), Grégory Pascal (SensioLabs), Jawaher Allala (Systnaps) sont renouvelés dans leurs fonctions au sein du Conseil d’administration. A ces responsables se joignent Patrick Bertrand (Holnest) et Bertrand Diard (Data Venture) en tant que personnalités qualifiées.

Olivier Robillart