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Next40, French Tech 120 2022 : les nouvelles pépites du numérique

Logos next40 French tech 120 2022 Numeum TechTalks

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Pour sa 3ème année, les index Next40 et French Tech 120 2022 présentent les entreprises numériques les plus en croissance. Nombre d’entre elles font partie de Numeum, l’organisation professionnelle représentative du numérique en France.

Les index Next40 et French Tech 120 2022 se pérennisent. Pour leur troisième année d’existence, le secrétaire d’État au Numérique Cédric O a dévoilé, les entreprises figurant au sein de ces classements. Pour rappel, le premier regroupe les 40 entreprises technologiques considérées comme étant les plus prometteuses. Elles ne sont pas cotées en bourse et développent une forte internationalisation de leurs activités.

A noter donc que cette année, pas moins de 36 start-up font leur entrée dans le classement. Autant d’entreprises en sortent. Le gouvernement insiste sur le fait que les startups de cette nouvelle promotion prévoiraient de créer 19 000 emplois en France et dans leurs filiales à l’étranger d’ici la fin de l’année.

Pour cette édition 2022, Numeum recense pas moins de 20 adhérents dans l’ensemble de ces classements. Sont ainsi présentes 9 entreprises dans le Next40. Un nombre stable au regard de l’édition précédente. L’index relève ainsi la présence de Doctolib, Ivalua, Ledger, Lifen, Lumapps, Mirakl, Qonto, Shift Technology et Swile.

French Tech 120 2022 : un programme d’accompagnement

Du côté du French Tech 120 2022, Numeum enregistre pas moins de 11 adhérents au sein de cet index. Il s’agit d’Akeneo, Botify, iAdvize, Medadom, OpenClass Rooms, Platform.sh, Recommerce Solutions, Skeepers, Ubitransport, Yousign et Yubo.

Si faire partie ou non de ce classement ne fait pas partie d’une fin en soi, Clara Chappaz, directrice de la French Tech, rappelle que le Next40/120 constitue surtout un programme d’accompagnement des start-ups. Des propos relayés par Cédric O, secrétaire d’Etat au numérique. Il explique :  » Cette réussite ne doit être qu’une étape, la compétition mondiale est féroce. Il faut de l’innovation pour faire face aux défis climatiques, du vieillissement de la population, de l’alimentation, et sans start-up, pas d’innovation. Nous continuerons donc cette politique de soutien acharné à la French Tech. Les start-ups, c’est notre assurance vie. »

Olivier Robillart

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